Quand la sclérose en plaques débarque dans le quotidien, le rôle de l’aidant devient souvent central pour accompagner au mieux l’évolution de cette maladie auto-immune. Quid du lien mère-fille quand l’aide logistique et le soutien moral deviennent indispensables ?
Amandine a été diagnostiquée de sa sclérose en plaques à l’âge de 16 ans. Pas toujours facile d’ajuster le curseur entre le niveau d’énergie, les douleurs, la fatigue chronique et la prise des médicaments à un âge où liberté et sorties sont censées prendre une grande place au sein de son quotidien. Mais soutenue par ses parents à la maison jusqu’à sa majorité, elle traverse les phases de fragilité avec aplomb et caractère.
Pour Odile, sa maman, la SEP n’était pas une nouvelle recrue quand Amandine a appris sa maladie : sa fille aînée a elle aussi été diagnostiquée de cette même maladie quelques années auparavant. Dès les premières poussées d’Amandine, Odile a trouvé toute la ressource nécessaire pour soutenir sa fille à la maison, psychologiquement et physiquement. Elle a mis un point d’honneur à l’accompagner, tant sur le plan de sa rééducation à la marche qu’au moment de ses sautes d’humeur.
Aujourd’hui âgée de 29 ans, Amandine vit dans son appartement, avec une maman jamais très loin (en cas de besoin) !
Découvrez le témoignage d’Amandine et de sa maman Odile ci-après, échanges menés à l’occasion de la Journée internationale des personnes handicapées organisée ce vendredi 3 décembre.
M‑FR-00005724–1.0 — Établi en décembre 2021
qu'en pensez vous ?
Nastasia❤️
27/07/2022Merci pour ce beau témoignage ?.
Ln
11/08/2022Beau témoignage, le mien serait plus long avec ma fille, atteinte de SEP agressive depuis 2016, 8 poussées / an, fibromyalgie, spondylarthrite ankylosante, tumeur au cervelet ( sera opérée en septembre) et pour fini, leucémie lymphoïde depuis 2 semaines en chimiothérapie, elle a 34 ans, je ne la quitte pas, je suis Ideanesth