Comment bien s’organiser entre études et SEP ?

Vivre avec une mal­adie telle que la SEP pen­dant ses études n’a rien d’évident. Fatigue, trou­bles de la con­cen­tra­tion, de la mémoire, traite­ments réguliers… com­ment trou­ver l’équilibre entre les cours et la vie sociale ?

Mal­adie dite du jeune adulte, la sclérose en plaques est le plus sou­vent diag­nos­tiquée entre 25 et 35 ans, selon le min­istère en charge de la San­té[1]. Deux décen­nies qui inclu­ent entre autres la péri­ode des études. Cette mal­adie neu­rologique peut induire chez les jeunes adultes un décalage par­ti­c­uli­er entre la sup­posée forme physique et men­tale asso­ciée à leur tranche d’âge. Et la réal­ité imposée par la SEP.

Fatigue intense, dif­fi­cultés à la com­préhen­sion et à la mémori­sa­tion, faib­less­es mus­cu­laires, trou­bles de la marche, de la vue, de l’élocution et de l’équilibre : tous ces ressen­tis, sur­venant selon la local­i­sa­tion des lésions au niveau du cerveau ou de la moelle épinière, peu­vent frein­er l’épanouissement dans la vie de tous les jours. 

Le patient devra par­fois redou­bler d’effort pour suiv­re le rythme des cours et/ou des semaines en entre­prise en cas de stage ou d’alternance. A cette péri­ode, la vie sociale souf­fre aus­si de la SEP et de son car­ac­tère imprévis­i­ble, le jeune ne trou­vant pas tou­jours la force ou l’envie de voir ses proches. Et les traite­ments[2] peu­vent aus­si pren­dre du temps dans le planning.

Les clés de l’autonomie et du mieux-être

Sources :


Crédit pho­to : Fatseyeva/shutterstock.com

M‑FR-00005153–1.0 — Établi en août 2023

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